6 novembre 2007
Les herbes folles
Le corps se déplace et le coeur perd son équilibre. Il se déplace de 3000 kms, s'ancre dans quelques livres car il faut respirer.
Je pourrais les nommer : ceux qu'on achète et les vieux qu'on retrouve... au détour des déménagements qui sédimentent dans la maison de Lasfaillades.
Pas assez toutefois pour que face à face le choc s'absorbe. Changer de paysage est prendre le risque de l'effacement du visage si celui qui est ici n'était pas tout à l'oeuvre du ravivement des couleurs.
Je l'aime. Je suis silencieux. Je me débats dans le temps du bonheur qui menace.
Je n'y peux rien mais je vais revenir
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