à coulisser le fer haut des portails rouillés à lever les lièvres des rencontres bergères à dresser les pierres lierrées qu’absolvent les présages du cri et de l’écho voilàle jardinier enlacé de la valse grimpante du vivre locataire incestueux des lisières...

Je viens épier la rudesse des hommesl es prendre par la manche aux sources aigres des bords de table épépiner la courbe des marches chambrer les mains tendues des pertes et soubresauts distiller l’alcool des gares où s’accentue l’ivresse des enlacements...

et cela commence par ne plus sortir de l’endroit par regarder le corps à distance par raboter les angles du désir – cela se joue au cœur de la chair – – au détour de l’ouate des peurs – – se parachève en la révélation de l’immobile – et cela finit par...